[Terminé] Concours n°1 : Mythes et Légendes

*Dieu fondateur* Ekailles : 6 Date d'inscription : 23/09/2016

Concours Mythes et Légendes

Bienvenue dans le premier concours d'écriture du forum ! Ci-dessous, les histoires des participants ont été exposés pour être voté par les membres du forum sur lequel sera le meilleur à leurs yeux ! Le vainqueur du concours, en plus de quelques Ekailles, d'un beau trophée et de sa tête en vedette sur la rubrique des jeux, verra son histoire publiée à la bibliothèque de Waterfall City !

Règles des votes :

Tout le monde peut voter, même les candidats.

Un seul vote par joueur : n'utilisez pas vos multi-comptes pour ajouter des votes.

Pour voter : Il suffit de cocher dans le sondage le titre du récit qui vous plaît le plus. Attention, le retour en arrière n'est pas possible. Soyez sûr de votre choix !

Les votes seront ouverts tout le mois de juin. Le vainqueur sera annoncé pour la mise à jour de juillet

Que le plus beau récit gagne !

_________________

[Terminé] Concours n°1 : Mythes et Légendes Giphy

*Dieu fondateur* Ekailles : 6 Date d'inscription : 23/09/2016

La légende de l’oiseau soleil

Certains peuples de Dinotopia ont déjà évoqué avoir vu un second astre solaire. Non, pas une pierre solaire, d’après eux, cela était bien plus lumineux que cela. Il existe un récit pour expliqué ce fait et il est le suivant.

Alohi était un Archéoptéryx qui était très fier de son apparence et ne cessait de se venter d’être capable de toute sorte de chose. Jusque là, il avait plutôt raison et cela avait fait de lui une petite célébrité. Voler plus haut que tout le monde ? Cela ne lui faisait pas peur ! Plus vite ? Pas un problème ! Faire face à des Carnivore ? Il avait volé entre les crocs d’un carnassier avant de s’échapper sans même avoir à perdre la moindre plume. Il était un petit héro à plume.

Un jour, on le mit au défit de manger une roche solaire, persuader qu’il n’en ferait rien. Après tout, cela était pure folie ! Mais c’était sans compter sur la fierté de Alohi qui déroba une roche solaire de la réserve pour l’engloutir purement et simplement. La pierre resta un moment coincé dans sa gorge et il cru qu’il allait mourir. De la fièvre commença à le gagner. Il resta inconscient pendant plusieurs jours sans qu’on ne sache quoi faire et pendant ce temps, son corps changeait. Il grandissait, bien plus que tout autre membre de sa race. Son plumage fut également plus long et plus brillant. Ses couleurs devinrent également plus vive, tirant vers le orange et le bun à présent.

Alors que tout le monde commençait à se désespérer, Alohi se réveilla. Il était en pleine forme ! On le garda un moment sous surveillance, inquiet des répercussion de cet ingurgitation et de ses transformation, mais, à dire vrai, il semblait même en meilleure forme que jamais. On aurait pu penser que cela suffirait à lui donner une bonne leçon, mais non… Il était absolument comblé de sa réussite et cela l’avait même encore un peu plus renforcé dans sa fierté. Il se disait que si il avait réussit à survivre à ça, alors il pourrait survivre à bien plus encore. Il devint encore plus casse-cou et se mis encore plus à faire des incursion au coeur du territoire des carnivore. Cependant, au lieu de l’attaquer pour le croquer, ces derniers semblait le s’éloigner de lui, presque le craindre. Quand Alohi approchait, ils faisaient marche arrière.

Alohi se mis de plus en plus en danger, mais il survivait et tout se passait au mieux pour lui ! Plus le temps passait et plus il se voyait au dessus des autres dinosaure. Il était plus puissant qu’eux et n’avait pas la moindre peur ! Il acceptait tout les défis qu’on lui laissait.

Puis, un jour, comme si il était incapable d’apprendre la moindre leçon, il releva le défit quand on lui dit qu’il serait incapable de manger une autre roche solaire. Des paris étaient alors lancer sur les changements que feraient cette nouvelle roche solaire par rapport à la précédente. Lui, il n’en savait rien et il n’avait pas envie de réfléchir à cela, tout ce qui comptait pour lui, c’était qu’il était le meilleur de tout les Sauriens et que personne ne lui arrivait à la patte.

Encore une fois, il se procura une roche solaire et, encore une fois, il l’engloutit devant tous. Encore une fois l’archéoptéryx fut pris de fièvre en tombant inconscient. Son plumage changea encore une fois de couleur, maintenant, il avait des nuances de jaune, de orange et de rouge et il semblait briller. Tout le monde attendait le réveil d’Alohi pour voir ce qui se passerait ensuite. Cependant, cela n’arriva pas. Au moment où tout le monde pensait qu’il allait se réveiller, le corps du volatile se mis à brûler, consumant tout sur son passage comme la puissance de la roche solaire le consommait de l’intérieur. Tout ce que ses plumes touchaient prenait feu. Lui qui voulait être un héro et être admirer de tout se faisait maintenant haïr de tout le monde parce que leur foyers étaient détruis sur son passage. L’adorée se faisait conspué. L’aduler se faisait insulté : Il n’avait plus sa place nul part sur terre alors il s’envola simplement loin dans le ciel.

Il pleurait et ses larmes de feu tombèrent au sol pour laisser des cratères de roches fumantes sur son sillage. Alohi était malheureux, mais il n’avait pas le choix. Il n’avait plus qu’un choix pour ne pas détruite Dinotopia. Il demeurerait dans les airs jusqu’à ce que la fatigue ne le vide de ses forces et veillerait à ce qu’aucun malheur n’arrive à l’île pendant ce temps.

On raconte qu’encore aujourd’hui, Alohi survole Dinotopia, parfois vu comme un second astre dans le ciel. Ses larmes de regret continuent à tomber de temps à autre ses larmes continuent de tombées sur terre, laissant des cratères et des pierres brûlantes là où les larmes de feu touchent le sol.

_________________

*Dieu fondateur* Ekailles : 6 Date d'inscription : 23/09/2016

Arthur et la bête

Le conte qui va vous être présenté,
Trouve ses origines dans l'esprit d'une mère angoissée,
Quant au sort de son enfant bien trop hardi.
Cette dernière, bien contente de constater l'effet sur son petit,
S'était empressée de révéler son secret à ses voisines.
Voilà comment s'est répandue cette comptine.

Il était une fois, un petit garçon prénommé Arthur.
Agé de neuf printemps, il adorait partir à l'aventure,
S'éloignant toujours un peu plus de la masure,
Jusqu'à ne plus en voir la haute toiture.
"Prend garde à ne pas quitter le sentier!"
"Et ne dépasse pas la pierre taillée!"
Implorait la mère inquiète pour sa progéniture,
Ajoutait le père, autoritaire de nature.

Arthur respectait toujours les avertissements,
Ne voulant pas causer de tort à ses braves parents,
Dont les ardus travaux dans les champs,
Prenaient toutes forces et tout temps.
Seulement voilà qu'un beau jour d'été,
Une année vint s'ajouter au compte du garçonnet,
Qui décréta secrètement
Qu'il n'avait plus à obéir aveuglément.

Lors d'une nouvelle expédition,
Après qu'il eu droit à son éternel sermon,
Il s'engagea sur le sentier,
Heureux de se remettre à fureter.
C'est après une longue vadrouille,
Que ses yeux furent attirés par une pie fripouille.
Elle s'évertuait à piquer le flamboyant hameçon,
De cette canne à pêche emmêlée par quelque godichon.
Arthur se rappela qu'il avait dix ans désormais,
Et quitta le sentier pour pénétrer dans l'ormaie,
Laissant derrière lui ses appréhensions,
Les avertissements de ses parents et leur désapprobation.
Faite dans la plus droite et plus belle banche qu'il ai jamais vue,
Et promit qu'à l'avenir, de crainte il serait dépourvu.
Sa désobéissance était tant et si bien récompensée,
Qu'il jura de toujours recommencer.

Le lendemain, après qu'il eut retrouvé sa canne bien cachée dans les fourrées,
Il s'en alla un peu plus loin sur le sentier.
En arrivant devant la pierre taillée,
Puisque la veille rien d'effroyable ne s'était passé,
Il marcha au devant d'elle paisiblement.
Aucun malheur ne se produisit, sans grand étonnement.
Le sentier s'avéra de plus en plus étroit et si long,
Qu'il pensa un instant qu'il finirait au château des félons.
Pourtant pour son plus grand bonheur il n'en fut rien,
Et c'est sur une magnifique clairière qu'il prit fin.
Dans un coin de cette dernière,
Arthur mis la main sur une bien jolie rivière.
Il s'amusait tant depuis qu'il avait dix ans,
Qu'il songea que ses parents devaient être bien vilains,
Pour le priver de toutes ces découvertes,
Et décida qu'ils n'en auraient pas une miette.

Mais voilà, alors qu'il jouait sur les galets mouillés,
Il découvrit enfin l'étrange créature qu'il l'épiait.
De l'autre côté du cours d'eau,
Juchée sur d'affreuses pattes d'oiseau,
Humain, lézard ou corbeau?
Cet être dissimulé par des lambeaux,
Lui souriait d'une drôle de façon.
"Paix de l'âme mon garçon!"
Arthur, qui se souvint qu'il avait dix ans,
Avec courage et gentillesse répondit
"Toute harmonie!"
"Comment as tu trouvé cet endroit?" demanda la bête,
Toute de crasse et de mouche recouverte.
"J'ai dépassé la pierre taillée,
Et j'ai quitté le sentier.
Mes parents me l'ont défendu,
Pour qu'aucun malheur ne survienne ont ils prétendu.
Alors qu'à l'évidence ils désiraient me priver,
De cet endroit et de ses beautés."
Sur le visage monstrueux,
Le bec mou et les yeux mystérieux,
Semblèrent satisfaits de cette réponse.
Et sans attendre il fit son annonce.
"Vois tu mon cher, il te faut savoir
Qu'ici tu es sur mon territoire.
Mais je le confesse,
J'ai bien envie de récompenser ton hardiesse.
Si demain au grand jour tes parents tu défis,
Prouvant ainsi que tu mérites le droit de revenir ici,
Alors tu sera libre d'aller et venir,
Et d'un millier de poissons obtenir."

Le jour suivant avant de se rendre à la clairière,
Arthur n'oublia pas de mettre le feu à la poudrière.
"Ne quitte pas le sentier!"
"Rien ne m'est obligé!"
"Ne dépasse pas la pierre taillée!"
"Seulement si tu viens me rudoyer!"
Sa mission accomplie,
Sur le sentier il repartit,
Et fous de colère et d'inquiétude,
Ses parents le suivirent pour mettre fin à cette attitude.
Comme la bête le lui avait demandé,
Tout du long il n'avait cesse de truander,
Jouant à saute mouton avec la pierre taillée,
Et ignorant son père qui rougeoyait.

Arthur s'arrêta au bord de l'eau,
Paniqué de ne pas voir l'ami aux pieds d'oiseau.
Alors qu'il s'apprêtait à recevoir de ses parents,
Toutes leurs promesses de tourments,
Une ombre s'éleva dans le ciel,
Et s'empara des parents avec une force cruelle.
De ses griffes acérées,
Il prit les parents sidérés,
Pour les emporter avec lui dans les airs.
"D'enfants si menus je n'ai que faire.
Voilà le cadeau que je t'ai promis,
La liberté que tu a tant chéri.
Je te lègue mon royaume.
Jamais plus tu ne retrouveras ton toit de chaume,
Et enfin comme moi tu deviendras,
Aussi laid qu'un rat,
Jusqu'à ce qu'un jour tu te repaisses de juteux parents,
A l'aide d'un stratagème malveillant."

C'est ainsi que s'achève la terrible aventure,
D'un enfant désobéissant prénommé Arthur.
Si toutefois vos marmots n'ont pas bonne mémoire,
Il convient de la relater quelques soirs.
Ainsi sont les préceptes de son autrice,
Pour que jamais vos rejetons ne vous trahissent.
Jamais son garçon ne redevint impertinent,
Et tous vécurent heureux très longtemps.

_________________

*Dieu fondateur* Ekailles : 6 Date d'inscription : 23/09/2016

La Mélopée du Galligator

L'on raconte qu'en une nuit où la pleine-lune était levée,
A l'heure où même les œufs avez cessé de s'agiter,
La gardienne de couveuse avait eu l'idée parmi les pires,
De négliger son devoir et de s'assoupir.
Au matin, elle fut réveillée par les cris et pleurs d'une mère,
Car un œuf avait glissé dans la rivière,
Et malgré les appelles, les recherches et bien plus,
Jamais ne fut retrouvé le petit gallimimus.

Une fillette joyeuse mais aventureuse descendit un matin à la rivière,
Alors qu'on le lui avait interdit par demandes et prières,
Afin d'admirer de ses yeux ébahis,
D'une bonne et généreuse mère alligator le nid.
Les œufs brisés attirèrent son attention,
Car l'un d'entre-eux avait de drôles de dispositions,
Plus épais, plus gros, mais aussi plus familier,
Un rugissement fit taire son hurlement étouffé.

Un jeune homme ne supportait pas la chaleur d'été,
En les roches solaires trop de confiance il mettait,
Ignorant de ses amis et voisins les conseils,
Que parfois leur protection pouvait se mettre en veille.
Suite à une triste de nuit où la roche s'était éteinte,
Et que sa fenêtre il laissa ouverte pour que la fraicheur pointe,
Le seul indice trouvé de ce qui lui était arrivé,
Fut une trainée rouge menant jusqu'au au marais.

Devoir, Obéissance, Prudence,
Trois règles à suivre pour éviter que par le tors,
Vous attiriez un jour le Galligator.

_________________

*Dieu fondateur* Ekailles : 6 Date d'inscription : 23/09/2016

Le Tyrannosaure Blanc

Il était une fois, une petite fille qui s’appelait Eileen. Une jeune pousse discrète, mais bien assez maline. Son visage était celui d’un petit ange, aux traits fins et délicats malgré le travail difficile dans la fange. Quelques taches de rousseur allant à merveille avec sa crinière de feu, ne servant pas à cacher d’elle un côté paresseux.

Un jour pour du travail ailleurs la famille décidée de partir, par le Marais Pluvieux en charrette seuls de choix y avait-il pire ? Au beau milieu de ce dédale végétal, un drame survint au dénouement fatal. Dans un ravin la charrette fut précipitée, sans que ces parents ne survivent à cela, la petite Eileen seule se retrouva, et sous la charrette décida de se cacher.

Attirés par les cris, sanglots et les pleurs, se massa une petite troupe de prédateurs. Les terribles sauriens affamés métrèrent en pièces corps des parents inanimés. “Arrêtez !” leur hurla la petite depuis sa cachette. Mais ils ne l’écoutèrent point et l’un d’eux se percha sur la charrette. Les cris des créatures ne cessaient de résonner, puis ce fut au tour du bois, par des griffes d’être gratté. Ils se regroupèrent comme une volée d’oiseaux de proie, tandis que la petite fille sombrait dans le plus grand des désarrois.

La terre se mit soudainement à trembler, des bois, les arbres ont commencé à craquer. De son point d’observation bouché par la vue de ses prédateurs, elle put voir les cimes bouger comme le feraient des fleurs. Les raptors sentirent qu’il se passait quelque chose, certain ne mirent pas longtemps avant de tomber dans la psychose. Ils quittèrent les lieux pour ne pas se faire avoir, mais l’un d’eux ne fut pas assez rapide et atterrit dans d’immenses mâchoires. Il venait de jaillir du sous-bois pour l’avoir, un colosse jamais vu à la robe d’ivoire.

Ce tyrannosaure aux écailles d’albâtre retourna la charrette d’un coup de museau pour la rabattre. Eileen était terrorisée par cet être qui est des prédateurs est le seigneur, mais il ne la croqua point et avait un air songeur. Sans crier garde il se mit à lui parler, d’une rauque et caverneuse qui ne put que l’étonner. La petite se présenta à lui en lui demandant s’il comptait la manger, mais la bête lui répondit qu’avec ce raptor il en avait bien assez. Elle lui demanda comment cela se faisait qu’il puisse parler et en retour avec beaucoup d’esprit il questionna la raison pour laquelle de ce miracle elle était dotée. Cela fit rire la petite Eileen touché par son sauveur, son esprit fin des plus grands savants avait la saveur.

La petite fille ne tarda pas à revenir sur sa terrible situation. A cela, le géant blanc avait la solution. Il lui proposa de sur son dos monter, pour des Marais Pluvieux la conduire à l’orée. Eilleen se fit une joie de faire cette chevauchée, mais une nouvelle fois fut étonnée.

Pourquoi m’aides-tu en plus de ne pas me manger ?

Tel monarque, des faibles je me fais devoir de protéger.

C’est en faisant la route que la petite a compris, que tous les habitants de l’île ont à tort pour les carnivores le mépris. Cet immense saurien blanc, même s’il n’a pas l’air savant, a le mérite d’avoir le cœur sur la main comme n’importe lequel des dinotopiens.

Eileen revint en ville avec cette histoire, disant que pour l’unité de Dinotopia il y avait un géant d’ivoire. Personne n’a pu trouver ce seigneur du Marais Pluvieux, si bien qu’on pensa que la petite avait inventé ce conte pour se sentir mieux. Peinée de ne pas trouver d’oreilles prêtes à la croire, Eileen dans les bois de son sauveur décida de partir pour le revoir.

On ne revit jamais plus la petite fugueuse Eileen, mais on raconte que parfois en tendant l’oreille on entend sa petite voix cristalline. Elle ne cesse de parler à ce Tyrannosaure et on raconte qu’à eux deux ils viendraient en aide aux égarés voyageurs. Attendant tous les deux que d’accepter les carnivores il soit l’heure.

_________________

» Les Mythes et Légendes
» [Terminé]Need your help
» [Terminé] A sec [Quête]
» [Terminé] Qui va là ? (Charlotte)
» Mehen (terminé !)